Princess Léa

Visuel artistique :
Je passe d’une discipline artistique à une autre, peinture, poésie, graffiti, musique, photo, dessin, illustration, comme autant de façons différentes d’explorer et d’exprimer mes idées. Chaque pratique enrichit les autres et m’aide à avancer dans mon travail créatif.
Autodidacte, je me suis construit à travers différentes formes d’expression. Depuis toujours, je puise mon inspiration dans des influences variées : les civilisations antiques, la musique, le langage des oiseaux, le monde des symboles ou encore l’univers de la science-fiction. Tous ces éléments nourrissent mon imaginaire et orientent ma façon de créer. Je les traduis à travers la peinture, le dessin, le graphisme ou le son, en mêlant passé et futur, intuition et recherche, pour donner forme à un langage visuel et sensoriel qui m’est propre.
Ma palette est un terrain d’exploration infinie. J’utilise différents médiums selon ce que je veux exprimer : l’aquarelle pour sa légèreté, l’huile pour sa profondeur, l’acrylique pour son énergie. La laque apporte des effets de brillance, les pastels permettent des nuances plus douces où contrastées. Chaque technique me permet d’explorer des textures et des atmosphères différentes, sur des supports variés choisis en fonction de l’envie ou du projet.
Je façonne des visages et des corps comme on invoque des présences. Les formes, les animaux, les paysages surgissent de mon imaginaire, porteurs d’histoires silencieuses. J’aime explorer les textures, faire naître les reliefs, marier les matières, créer des collages, assembler l’inattendu. Parfois, je déconstruis la toile pour la réinventer, comme on tisse un rêve à partir de fragments. Chaque œuvre est une métamorphose, un passage entre le visible et l’invisible.
Ma peinture traduit ce que je ressent sans toujours pouvoir l’expliquer : les mouvements intérieurs, les connexions invisibles, les mystères de mon propre univers.
À travers mes toiles je cherche à transmettre une vibration de douceur et d’unité, un écho à la beauté intérieur de chaque être. Mon souhait est que mes œuvres deviennent des lieux de rencontre entre les âmes, des passages vers une lumière qui parle au cœur.

Description complète de mon personnage
Identité:
- Nom : Princess Lea
- Age humain : 33 ans
- Energie dominante : Féminin cosmique
- Symbole fort : Eau + Feu
- Origine : Vénus
- Territoire : Borderland (espace de passage entre monde, réalité et dimension)
- Type : Princesse celeste
- Mission : Restaurer l’équilibre, canaliser l’énergie des planètes à travers l’art et le souffle sacré.
- Invocation divine : Venessiah, Lyra Eztara, Astraena, Selaya, Oreh
Personnalité :
- Qualités : Passionnée, sagesse, discrétion, drôle, créative, sincère, surprenante
- Faiblesse : vertige, sensibilité au froid, vue, sentimental
- Rôle ou mission artistique : Certaines toiles sont des portails pour que les âmes se rencontrent, vibrent dans la douceur et l’unité. D’autres toiles sont des talismans ou artéfacts pour venir se réveiller, s’aligner ou se reconnecter à soi.
Archétype et univers :
- Espèce / Essence : Être hybride ( moitié étoile, moitié matière)
- Pouvoir : Manipule la lumière astral, trace des glyphes pour aider les âmes sur leurs chemin.
- Alignement : Neutre, agit pour l’équilibre cosmique.
- Univers: « le bord », un no man’s land, la terre de personne, entre les dimension, science fiction, fantastique.
Histoire :
Histoire de Vénus :
Le Miroir du Ciel
Au commencement, lorsque le Soleil sema des étincelles de vie dans le vide, une perle d’or rose prit forme tout près de lui. Cette perle, nommée Vénus, naquit entre la lumière et le feu.
Elle était la sœur de la Terre, semblable par la chair, mais différente par l’âme. Là où la Terre choisit le souffle et la croissance, Vénus choisit le désir et la beauté.
Vénus devint le miroir du cœur des dieux : tout ce qu’elle touchait se parait de splendeur, mais brûlait aussi d’une intensité que nul ne pouvait contenir. Les anciens disaient que son atmosphère épaisse cachait ses secrets, comme une amante voilée. Car Vénus n’aimait pas être vue sans mystère.
Chaque matin et chaque soir, elle se montre brièvement « l’étoile du matin, l’étoile du soir » rappelant que la beauté n’est jamais éternelle, mais toujours renaissante.
Et ceux qui méditent sur son éclat apprennent ceci :
L’amour est une flamme qui éclaire ou consume, selon la pureté du cœur qui la porte.
Ainsi, dans le grand théâtre du cosmos, Vénus n’est pas seulement une planète : elle est le symbole du lien entre le désir et la lumière, entre ce que l’âme espère et ce qu’elle doit transcender pour atteindre l’harmonie.
Histoire de Princess Lea :
« Née dans les brumes sulfureuses de Vénus, elle fut sculptée par les vents solaires et nourrie par les songes oubliés. Son cœur bat au rythme des planètes. Elle marche seule dans le Borderland, un espace où les lois se brisent et les ombres parlent. Chaque combat est un rituel, chaque pas un poème cosmique. Elle ne conquiert pas, elle rééquilibre. Là où le chaos ronge la matière, elle trace des lignes d’harmonie, ouvre des portails.
On l’appelle la Princesse Céleste. »
Obstacles à surmontés :
La Princesse de Vénus et le Voile de Feu
Je viens d’un royaume où tout vibre d’harmonie, où les cœurs parlent avant les mots, et où chaque souffle est une caresse de lumière. Mais un jour, les Anciens mon confiés une mission :
Va sur les terres d’ombre et d’oubli, là où les âmes ont oublié la danse du cœur. Ramène-leur la mémoire de l’amour.
Je descendis donc, traversant les couches du ciel.
Mais chaque sphère me prit un éclat :
la première, celui de mon émerveillement ;
la deuxième, celui de ma certitude ;
la troisième, celui de ma pureté intacte.
Quand enfin je posai le pied sur le monde terrestre, j’étais encore belle, mais voilée — comme Vénus sous ses nuages.
Et les obstacles commencèrent.
- Le feu du désir : Je devais apprendre à aimer sans me perdre, à offrir sans vouloir posséder. Le feu vénusien est créateur ou destructeur selon la clarté du cœur qui le porte.
- Le miroir de l’ego : Partout, les reflets du monde m’invitaient à me reconnaître, mais aussi à me confondre avec mes propres images. Je devais apprendre à voir sans me juger.
- Le poids de la beauté : Mon éclat attirait, fascinait, dérangeait. Je découvris que la vraie beauté n’est pas dans ce qu’on voit, mais dans ce qu’on élève chez l’autre.
- La nostalgie du ciel : Je me rappelais mon royaume lumineux, mais ma mission était ici. Alors j’ai appris à transformer la nostalgie en compassion, et le manque en art.
Et lorsque mon cœur sut aimer la Terre sans vouloir la fuir, les nuages de mon âme se dissipèrent. Je vis enfin mon propre reflet dans l’océan du monde et ce reflet ne m’absorbait plus, il me révélait.
J’avais uni le feu et la lumière, le désir et la sagesse.
J’étais devenue Vénus incarnée, le pont entre le ciel et les hommes.